Entre renonciation, perte et incompréhension, le Pas-de-Calais se résigne et invoque les nouvelles d’un isolement probable le week-end. Le département doit être le premier des vingt régions placées dans une « surveillance renforcée » après les agglomérations de Nice et de Dunkerque la semaine dernière. En question : hôpitaux saturés et la propagation de l’épidémie de COVID-19 dans toute la région des Hauts-de-France.
Dans le Pas-de-Calais, le taux d’incidence atteint maintenant 406 cas pour 100 000 habitants sur sept jours, bien au-dessus du seuil d’avertissement maximal établi à 250 par les autorités sanitaires. C’étaient 353 par semaine auparavant. À Dunkerque, dans le nord voisin, il a même dépassé les mille. Le taux des tests a également augmenté de manière significative dans le département ces derniers jours, ainsi que le nombre de personnes hospitalisées.
Toute la côte nord, plus de 90 patients ont été transférés à l’hôpital de Dunkerque début février. C’est énorme. Il y a une tension à Dunkerque, mais également dans d’autres institutions de la métropole du nord et Pas de Calais. Selon Patrick Goldstein, chef du centre d’urgence et Samu à Lille, qui a déclaré que c’était toute la région qui est aujourd’hui en difficultés, les élus eux – mêmes ont exigé des mesures fortes.
La conformation correspond au taux d’incidence que nous avons actuellement dans le département, avec un pourcentage du variant Anglais, qui dépasse 65 % », justifie la maire de Calais Nathalie Bouchat.
Nous avons les mêmes effets que certains départements d’Île-de-France, et nous allons imposer un confinement dans le Pas-de-Calais, tandis que cela n’est pas imposé à la population parisienne.
Anne Hidalgo Franco s’oppose à ce scénario
Certes, en Seine-Saint-Denis, qui avec (405 cas par 100 000 habitants), semblable au Pas-de-Calais, tombe au niveau de la Région Île De France, qui elle est à 331 cas pour 100 000 habitants. Cela peut expliquer la sélection de l’administrateur, dont le but est d’éviter un rapatriement local à l’heure actuelle lorsque des pays voisins comme le Royaume-Uni ou l’Allemagne changent au désaccord progressif – d’autant plus que le maire de Paris Anne Hidalgo Franco s’oppose à ce scénario.
Le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal a déclaré mercredi l’espoir de voir un « retour à la vie normale, peut-être à la mi-avril » « Vous devez tenir quelques semaines, quatre à six semaines, parmi les restrictions et les vaccins ».
Dans cette perspective, le chef d’État a amené mercredi Jean Castex et les ministres intéressés pour étudier les différents scénarios pour rouvrir les lieux publics et les contours de la « santé » possible pour y accéder. Le premier ministre doit donner une explication lors d’une conférence de presse jeudi.
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