[title text= »certains fêtards ont défié les interdictions » tag_name= »h2″ color= »rgb(0, 0, 0) »]
C’est le cas de cette importante fête clandestine qui s’est déroulée dans des hangars abandonnés à Lierons, Ille-et-Vilaine, et ce, malgré les mesures de couverture mises en place par le gouvernement.
Environ 2500 personnes se sont rassemblées pour cette nouvelle année, sans respecter les gestes de barrière. Beaucoup d’entre eux ne portaient pas de masques. Les gendarmes ont tenté de mettre fin à cette rave illégale, mais les militaires, qui n’étaient pas assez nombreux, ont été attaqués par plusieurs jeunes hommes. Trois gendarmes ont été blessés lors des affrontements et leur véhicule a été incendié. Un dispositif important a été mis en place pendant la nuit pour protéger cette fête clandestine qui s’est poursuivie ce vendredi jusqu’aux petites heures du matin, comme précisé par nos confrères.
À son tour, la mairie d’Ille-et-Vilaine a décidé « d’activer le centre opérationnel départemental de la ville pour gérer l’événement », a-t-elle déclaré sur les réseaux sociaux.
[title text= »300 personnes réunies lors d’une soirée illégale à Marseille » color= »rgb(0, 0, 0) »]
Des policiers sont également intervenus à Marseille pour mettre fin à une fête illégale qui a réuni près de 300 personnes dans une salle de réunion du 10e arrondissement. Plus de 150 fêtards ont été condamnés à une amende de 135 € pour avoir violé le couvre-feu. Quant aux trois organisateurs, ils ont été immédiatement arrêtés puis placés en garde à vue pour mise en danger de la vie d’autrui et du travail non déclaré.
Par ailleurs, deux autres fêtards ont été arrêtés, l’un pour insulte à un chef de l’autorité publique et rébellion, tandis que le second pour rébellion et violence contre un chef de l’autorité publique, notamment avec une arme, souligne nos confrères.