[title style= »bold » text= »Julien Arcuri – Quand même » tag_name= »h2″ color= »rgb(3, 58, 199) » icon= »icon-play »]

Rue de l’info revient sur un titre qui a séduit tous les gens qui l’ont écouté : « Quand même » interprété par Julien Arcuri. C’est un extrait de la comédie musicale signée David Clément-Bayard : Siddhartha l’Opéra Rock.

C’est un chanteur d’exception qui nous livre cette superbe chanson. Un artiste dont on a pas fini de parler…

Julien Arcuri plus en détails ici >>

[title style= »bold » text= »Libre écoute » color= »rgb(3, 58, 199) » icon= »icon-play »]

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Chant : Julien Arcuri

Paroles/Musique : David Clément-Bayard

Arrangement : David Clément-Bayard & Igor Bolender

Direction artistique : Fred Juarez

[title style= »bold » text= »Paroles : Quand même – Julien Arcuri » color= »rgb(3, 58, 199) » icon= »icon-play »]

Tu laisses chaque matinée

Un bol vide à moitié

Au soin de mes élans

Tu peins ton visage

Et fardes abondamment

Tous les sillons du temps

Dans ces moments là

J’en reviens pas

Tu me chantonnes le même air à chaque fois : 

Tu te fais belle pour moi

Mais je voudrais dire quand même

Que c’était bien toi qu’en rêve

Dans mon enfance

J’imaginais

Mon évidence

Avait mes traits Mon âme sœur

Avait tes peurs

Tu parles sans respirer

Tu te perds en détails

Tu disgraisses en pagaille

Et tu as des migraines

Des bobos pour un rien 

La guigne au quotidien

Dans ces moments là

J’en reviens pas

Tu me larmoies le même air à chaque fois :

La vie s’acharne sur toi

Mais je voudrais dire quand même

Que c’était bien toi qu’en rêve

Dans mon enfance je chérissais 

Une délivrance

Au temps des plaies

Une âme sœur

Au temps des pleurs

Parfois tu te sens blessée

Tu me rentres dedans

Mais immédiatement 

L’orage est passé

C’est là que je comprends

L’idiot que je défends

Dans ces moments là

J’en reviens pas

Tu sais toujours avancer le premier pas

Tu mets l’amour avant toi

Moi je voulais dire quand même

Que c’était bien toi qu’en rêve

Dans mon enfance

Je désirais

Mon indécence

Avait tes traits

Mon âme sœur

Je voudrais te dire sans gêne

Que tu es bien celle que j’aime

Pour l’existence

Et même après

Te sens-tu l’âme

S’il n’est pas trop tard

D’être Madame

Yasa Vanar

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